Départ : Marina Bas-du-Fort (Pointe-à Pitre/Gosier)
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Mail : julien.guidedepeche@gmail.com
En Guadeloupe, la pêche aux leurres s’avère passionnante. Autour des hauts-fonds, dans le lagon, près des palétuviers,
les carnassiers des caraïbes rodent en quête de nourriture. Nous les traquons avec un matériel sélectionné, permettant d’avoir
de la précision, de la résistance tout en conservant un maximum de sensations. Pêcher en « light« est une obsession
pour moi et je m’emploie à vous procurer les plus beaux combats. Je vous fournis tout le matériel lors de nos sorties, mais
si vous le souhaitez, vous pouvez venir avec le votre. Vous aurez donc l’occasion de pêcher avec des ensembles cannes et moulinets
hauts de gamme et vous aurez accès à un panel de leurres adaptés à chaque situation.
Ce terme est général quand on parle de pêche aux leurres car c’est la technique de base qui est certainement la plus employée, même en Guadeloupe. Elle consiste à lancer son leurre, sur une zone précise, puis de le ramener de façon linéaire ou en saccades de manière à imiter le déplacement d’une proie blessée. Elle est très ludique car elle nous fait utiliser des leurres divers et variés et nous permet de pêcher de façon active en couvrant rapidement les zones visées.
Nous l’utilisons donc dans différents environnements. Ainsi, en mangrove, nous débusquons les prédateurs en bordure et sous les palétuviers, ce qui nécessite de lancer avec précision. Tarpons, snook, pagres, carangues… nous recherchons tous les poissons. Cette technique se pratique également dans les eaux claires du lagon, à la recherche des prédateurs : barracuda, carangues, pagres… Nous l’appliquons aussi autour des hauts fonds (flats), pour leurrer un bonefish à vue sur du matériel ultra léger ou un barracuda au leurre de surface. Dans ces deux cas, nous recherchons des attaques visuelles pour le plus grand plaisir des « leurristes ».
C’est une variante de la pêche aux leurres qui nécessite un peu de technique et savoir-faire. En effet, l’objectif est de « gratter » le fond de l’eau (roches, coraux, sable, herbiers) tout en gardant contact avec le leurre. Plusieurs animations sont possibles : linéaire près du fond, saccades, longues tirées… Elle se pratique à l’arrêt ou en dérive lente (à la force du vent). L’écho sondeur est ainsi d’une grande utilité pour estimer la topographie des fonds (cassures, trous, hauts-fonds), repérer les poissons fourrage et les gros spécimens en embuscade. Le linéaire avec de longs lancers permet de peigner de grandes zones. Alors qu’en verticale, on se contente d’animer le leurre sur le fond à l’aplomb du bateau.
La pêche à gratter est productive entre 2 et 15m mais également près des bordures ou dans les rivières les plus larges. Pour rejoindre le fond, nous utilisons des leurres souples armés de têtes plombées, des leurres métalliques ou encore des lipless. Les réglages sont essentiels en fonction des conditions (profondeur, vent, courant). Finalement, cette technique tactile, alliée au matériel léger que je vous propose, donnent d’excellentes sensations. En effet, les carangues, snook, pagres, ou autres bone fish, tarpons et barracuda sont de très bons combattants.
Un jig est un leurre entièrement fait de plomb permettant selon son poids d’accéder à des profondeurs plus ou moins importantes. Animé de manière verticale dans toute la couche d’eau, il permet ainsi de séduire tous les prédateurs. Parfois plus physique et plus sportive, cette pêche se pratique aussi à l’arrêt ou en dérive. Il suffit de faire tomber le leurre à l’aplomb du bateau, jusqu’au fond ou non, en fonction de la profondeur et de l’animer plus ou moins rapidement lors de la remontée. La concentration du pêcheur doit être à son maximum pour ne pas louper le ferrage lorsque la touche intervient. Les tailles et les poids employés varient donc en fonction des poissons visés, de la profondeur, de la force de la dérive et de celle des courants.
L’échosondeur est encore ici un outil précieux. Les cannes et moulinets sont adaptés en fonction du poids des leurres utilisés. Cette technique peut s’appliquer dans le lagon, mais aussi au large près des tombants rocheux, jusqu’à 100m de fond et plus (dans ce cas les leurres peuvent dépasser les 200g). La barrière de corail qui entoure la Guadeloupe est très poissonneuse. Avec cette technique, tous les rêves de grosses prises sont donc permis. Les combats peuvent être puissants et vous procurer de grandes sensations. Nous visons de nombreuses espèces : carangues, pagres, barracudas et le fameux thazard.
Cette pêche est relativement simple, et diablement efficace. De plus, elle peut s’appliquer n’importe où, tant qu’il y a de la place pour naviguer. En effet, elle se pratique en déplacement et permet de couvrir une grande surface assez rapidement. Nous pouvons ainsi l’utiliser lors d’un changement de zone de pêche. Il suffit de laisser nager le leurre à quelques dizaines de mètres derrière le bateau. De ce fait les leurres durs de type poissons nageurs sont principalement utilisés ici. Nous jouons sur les caractéristiques de chacun pour traîner à la profondeur souhaitée. Il est également possible d’utiliser des leurres souples sur têtes plombées ou des leurres métalliques. Gare à bien maintenir sa canne en main lors de la touche, les poissons exotiques qui peuplent nos eaux sont virulents.
Accessible à tous, cette technique donne rapidement accès à nos barracudas, carangues, thazards, tarpons…
Découvrez la pêche aux leurres en Guadeloupe.
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